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Aël Carlton

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MessageAuteur
MessageSujet: Aël Carlton Aël Carlton EmptyMar 30 Aoû - 17:31

RENSEIGNEMENTS PERSONNAGE

Espèce :Paranormale
Nom : Carlton (du moins pour le moment)
Prénom :  Anaëlle
Âge :  18ans

Lieu de Naissance :  Londres
Nationalité :  Anglaise

Métier : Tueuse à gage

PORTRAIT

Description physique :
Ton visage rond est plutôt enfantin, et n'a pas encore les traits fins de l'adulte comme il devrait déjà avoir, mais cela ne devrait pas durer. Cependant tu n'es pas joufflue, loin de là, la première impression est crée par des pommettes relevées sans être trop proéminentes, un nez petit et fin, une bouche aux lèvres pincées, et des yeux en amendes à la couleur étrange : rouges cramoisis grace à des lentilles de contact. Tes cheveux sont gris métalliques pour cette identité, car tu es passée par pas mal de teinture, puisqu'originellement ils sont châtains clair, leur longueur est assez impressionnante puisqu'ils tombent en bas des reins, à la frontière de tes fesses, ils sont plutôt fins et ne sont pas en grand nombre donc facile à coiffer si tu le désires. Naturellement ils tombent raides, mais devant ton visage c'est un peu le bordel, les mèches de ta frange allant un peu à droite à gauche, mais cela te donne un petit air farouche. Ayant un corps plutôt mince, on te sous estime souvent, grave erreur car même si les muscles ne sont pas très voyant et efficace, ta précision n'a que peu de faille et tu peux te montrer aussi rapide qu'imprévisible. Ton apparence te sert souvent à déjouer la méfiance de ceux que tu dois approcher et tes clients ne commentent pas la bêtise de s'arrêter sur ton physique.

Couleur des cheveux : Gris métallique
Couleur des yeux :  Rouge cramoisie (tu porte des lentilles)
Taille :  1m 64
Corpulence :  Fine au environ de 48 kilo

Description psychologique :
Comment leur expliquer ta personnalité qui dépend tellement du moment où tu te trouves que la décrire frôle l'impossible. Une première partie de toi es une partie mise en avant par ton père, dévouée à la tâche tu ne recule devant rien et n'hésite pas à utiliser certains moyens pour arriver à tes fins, cette partie est aussi froide à l'extérieur qu'à l'intérieur, aussi tuer des gens ne produit sur toi aucun effet, leurs cris et leurs supplications te laissent indifférente sans pour autant te procurer du plaisir. Cette personnalité à le don de manipuler les gens à sa guise, de mentir comme elle respire et de ne jamais paniquer même quand quelque chose se déroule mal. Elle sait aussi très bien bien improviser avec les moyens du bord pour effrayer les gens, les torturer, ou autres...
L'autre toi est celle au niveau affectif, même si tu restes toujours un peu lunatique, tu es plutôt sympathique et généreuse en sourire avec les gens appréciés. Mue par un instinct protecteur tu ne supporte pas que l'on touche à tes proches, ou alors ta colère ne peut s'apaiser que difficilement. Pas timide, tu vas être franche envers quelqu'un qui va venir te parler et tu ne cherches pas à ménager les gens et leurs sentiments, mais tu te méfie des autres et le fait d'avoir de la compagnie t'est égal, donc tu ne vas pas vers les gens dans la rue, ou tu vas droit au but si tu dois demander un truc à quelqu'un. Ta délicatesse dépend de ton humeur et de la tâche à accomplir.

   Aime : Tu aimes ton fils et ta liberté, c'est les principaux éléments de ta vie, mais comme tu n'as pas eu d'enfance véritable à partir de huit ans, tu es aussi restée un peu gamine, alors tu aimes beaucoup les peluches, le chocolat et la glace sont tes petits plaisirs, la musique te détend, et ta mère avec ta soeur habitent toujours ton coeur
   N’aime pas :  La cigarette, même si parfois elle s'en grille une pour bien faire son activité, son père, son métier, puisque même si tuer des gens ne lui fais ni chaud ni froid, ce n'est pas le mieux pour son fils. Elle se méfie également des gens.
   Sociabilité :  Introvertie
   Rapports aux gens : Les ignores en générale, sinon reste distante avec les connaissance, plus chaleureuse avec ses proches (qui sont très rares) ou alors pour sa mission elle peut faire preuve d'une bonne dose de sympathie similée
        Rapports à l'AssociationConnais pas

Capacités : Tu es une grande manipulatrice pour arriver à tes fins, ta deuxième capacité c'est l'art de passer inaperçu. Tu manies aussi très bien les armes et tu es plutot bonne au combat à main nue.

Particularité : Maintenant que tu as compris comment ton don fonctionnait, tu peux regarder les gens en face sans qu'ils ne se figent. Ton don passe donc par tes yeux, et quand tu l'actives, tout ce qui se trouve dans ton champ de vision s'immobilise, les gens qui y sont soumis ne s'en rendent pas vraiment comptent car ils sont comme engourdis, ils leur faut donc quelques minutes pour se remettre après des effets. Tu peux aussi viser seulement une ou deux personnes au milieu d'une foule mais il te faut alors plus de concentration. Avant de pouvoir immobiliser la personne il faut que tu puisse la regarder dans les yeux pendant un minimum de cinq secondes, après elle sort de sa transe quand ta volonté se relâche.

VECU

Histoire :
Anaëlle réveille toi ! Anaëlle ! Allez plus vite, le téléphone est en train de sonner. Tes endormie devant la télé, oui ce n'est pas nouveau en effet, ça t'arrive de plus en plus souvent. Bon la j'avoue ce n'est pas vraiment ta faute, tu as eu une dure journée hier et tu es rentrée épuisée, alors quand il a fallut mettre Aaron au lit et qu'il a commencé à pleurer, tu l'as mis dans son parc au petit salon pour le bercer avec le son des dessins animés, du coup tu as aussi subit l'effet soporifique provoqué. Mais la, jolie belle au bois dormant, il serait peut être tant de te lever les fesses, de baisser le volume sonore et d'aller avec gentillesse décrocher ce téléphone à la noix qui perturbe ton sommeil et qui commence à me taper sur les nerfs !

Enfin, la voix de la raison viens à toi, tu as réussi à te mettre en position assise. Ah ! Ton dos... Il est bien douloureux, et je n'aime pas cette sensation désagréable qui le traverse quand tu le bouges, elle est fulgurante mais ne fait pas du bien, avais tu mal hier ? Non je ne m'en rappelle pas, ça doit être en dormant que tu t'ais fait ça, la prochaine fois installe toi mieux au lieu de t'affaler pour souffrir le lendemain au réveil hein ?! Bon, oublie un peu ça, et va jusqu'à meuble en bois de chêne la bas, bien. Oh. Tu as aussi des fourmis dans les jambes... Tant pis, faisant comme si tu n'avais rien. Plus qu'un pas et tu pourras t'en saisir, de ce foutu appareil qui t'empêche de finir ta nuit. Pour une fois que ce n'était pas le bébé qui te réveillais, mais à coup sur il ne te laisserai pas te rendormir par la suite, mais ça tu le savais déjà. Alors nous y voilà, juste à côté de ce meuble auquel tu t'accoudes attendant que le répondeur se déclenche, pourquoi ne pas prendre la communication maintenant ? Tout simplement parce que tu ne prendrais l'appel que si le message te conviendrait, et celui qui appelait laisserai surement un message. Et oui, tu connaissais plusieurs sortes d'appels, les pubs qui dans ce cas là ne laissaient que rarement des messages, des connaissances que tu as du faire pendant tes « missions » et de qui tu n'en a plus rien à foutre, tes clients qui savent que la seule chance de t'engager et d'être brefs et persuasifs une fois le répondeur enclenché, ou Katy, ta petite sœur qui savait qu'elle n'avait qu'a s'annoncer pour que tu prennes ce foutu téléphone. Katy... tu aurais abandonné tout ce que tu avais pour elle il y a un temps, sauf ton fils, mais ce n'était plus valable depuis l'année dernière, ton père l'avait trop influencée, et maintenant elle te haïssait, pour elle tu aurais cessé ces activités, tu te serais livré à la police, tu aurais donné ta vie après t'être assuré que ton fils serait bien, mais elle n'avait rien demandé de tout cela. Et malgré mes avertissements, elle s'était livré à un jeu dangereux comprenant de la drogue et un gang. Elle avait péri dans une fusillade. Alors ce ne devait pas être elle qui t'appelait. Un « Bip » retentit suivit des paroles suivantes :

« Aël je sais que tu es là, il faut qu'on parle... De père à fille... »

Papa... Un mot si rarement prononcé, un homme qui ne me laissait qu'un vague souvenir d'un sentiment de haine, il t'avait pris les deux personnes qui comptaient le plus à tes yeux, ta mère qui avait été la personne avec qui tu étais la plus proche, puis ta sœur qui après la perte de votre génitrice était devenue aussi ta seule amie. Il ne tourna pas autour du pot allant droit au but, il te connaissait assez pour savoir que la franchise était le comportement à adopter s'il ne voulait pas que tu lui raccroche au nez, il savait aussi très bien que tu savais qu'il te manipulait depuis que tu étais petite et que tu ne te laisserais plus entraîner, même si ce qu'il t'avais fait t'avais mené sur un chemin à sens unique. Il avais quelque chose d'important à t'annoncer mais c'était trop risquer de t'en parler au téléphone, tu ne pris pas cela comme de la manipulation de sa part car toi aussi tu prenais cette mesure de sécurité avec tes clients, parlant avec des codes pour leur donner un lieu du rendez vous et entrant dans le vif du sujet une fois seulement que vous étiez en face, il fallait ce montrer prudent dans cette profession, et la méfiance et le meilleur allié. Cela ne changeait rien au fait qu'il devait donc te voir. Un lieu de rendez vous fut décidé, un café à trois rues du studio que tu louais (même si tu ne lui avais pas dit où tu habitais, tu lui avais donné un lieu proche de chez toi pour l'induire en erreur vu que ton style est de se rendre loin de ton habitation pour se genre de chose, il ne te chercherait pas dans le coin, tu gagnais donc un peu de temps.), à 21h. Toi comme lui saviez bien que tu n'avais pas l'intention de t'y rendre, et lui non plus, tu voulais le tuer, alors il ne prendrait pas le risque de te rencontrer, alors que cherchait il à faire ?

Tu savais déjà que depuis toute petite il te manipulait, ton destin était déjà tracé à ta naissance, il a fait en sorte que le sentiment de vengeance que tu éprouves à son égard te fasse t'engager sur cette voie, tu le sais, mais tu ne peut rien y faire. Tu n'as jamais fait d'études pour changer de vie, les autres professions te font l'effet d'être fades, alors tu te trouves bloquée sur ce chemin. Mais pas le temps de parler de cela, tu a pas mal de chose à faire avant ce soir. Il te restait au environ de trois ou quatre jours avant qu'ils ne se doutent que tu sois dans le coin, un choix s'imposait donc : la traque, ou la fuite. Ton premier réflexe fut la traque, puis tu entendis gémir dans ton dos, sonnant l'heure du biberon du matin, cela te ramena à la réalité. La fuite pour ne pas perdre ton fils, mais serait il mieux pour lui de vivre dans la menace plus tard ? Quoi qu'il se passe, tu fuirai après le meurtre où avant qu'il ne te trouve. Alors tu devais préparer tes affaires, t'occuper de ton fils, tes idées s'éclaireront peut être pendant ce temps.

Tout ce remue ménage dans ta tête te donnait la migraine, pas étonnant, mais comme si de rien était, tu pris ton fils dans tes bras, posant son crâne sur ton coude, le bras le long de son corps, te laissant donc une main de libre. Tu lui préparas de celle ci un biberon de lait tiède puis tu pris le temps de le nourrir correctement avant de la bercer et de l'embrasser. Après le bouffe il te laisserait tranquille pendant une heure a peu près sauf si un accident survenait en route, donc il était temps de s'activer. Les meubles ne t'intéressaient pas, la télé non plus, tu devais débarrasser le plancher vite fait, donc sans t'encombrer de tout un bric à brac. Tu sorti une petite valise de sous un meuble, puis tu commença par le bureau, le plus important c'était les classeurs qui contenaient tout tes dossiers. En te penchant sur l'un d'entre eux, tu lus « Mikael Estin » le nom de celui que tu n'irai pas retrouver. Bien sur le nom de famille n'était pas le même que le tien, mais Carlton n'était qu'une fausse identité parmi tant d'autre, la seule chose qui restait commune c'était que Aël se trouvait dans tous les prénom que tu utilisais, c'était le surnom que ton père t'avais donné au téléphone, mais tu le gardais car c'était ta mère et ta sœur qui te nommais ainsi. Tu savais tout ce que contenais ce classeur, et tu plongea dans certains souvenir...

*-Papa !

Ton père venait de rentrer à la maison, tu courus jusqu'à lui du haut de tes trois ans, le sourire au lèvres , mais il t'écarta de la main, tu le regardas traverser la pièce sans te jeter un seul regard, et le coeur en miettes, tu fus secouée par un sanglot, puis serrer très fort par des bras tendre et aimant avec une petite voie te chuchotant

-Il est fatigué et a encore du travail, il n'a pas le temps ma chérie, mais je suis là moi
-Maman !

Tes bras se refermèrent autour de son cou pour lui rendre son étreinte et accroupit elle vint te déposer un baiser sur la joue. Puis elle ajouta que bientôt une autre petite fille serait la pour toi, et qu'elle aurait besoin aussi de ton soutient, tes yeux se posèrent alors sur le ventre arrondi. Katy ta futur soeur que tu aimais déjà beaucoup.

*****

Cinq ans plus tard rien avait changé, ton père ne te parlait jamais, ne te voyait pas souvent et t'ignorait quand tu étais à côté de lui, ton grand frère Wilfried ne le quittait jamais et avait avec lui de belles discutions animées auxquelles tu ne comprenais rien, et toi tu t'étais résolue à aider ta mère avec ta petite soeur après l'école. Tu te sentais rejetée, et plutôt mal mais tu ne le racontait pas à ta mère qui avait déjà beaucoup à faire, tu préférais lui dire les bons moments de ta journée ou les rêves que tu faisais la nuit. Cependant une chose te travaillait, souvent lorsque que tu posais tes yeux étranges sur quelqu'un dans la rue il se figeait en plein mouvement. Cela t'effrayais, alors tu regardais tes pieds tu ne comprenais pas. Mais tu avais autre chose à penser même si ça te gênait. Tu te rappelles aussi de ce jour n'est ce pas, un vendredi, la veille des vacances scolaire, tu es rentrée chez toi, ton père était dans le hall de la maison, comme s'il t'attendait. Il te regardait d'un air sérieux et te tendit la main. Folle de joie tu la lui pris pour le suivre contente mais sans dire un mot. Il te mena dans la chambre de ta petite soeur ou tu vis tu frère en train de frapper la gamine de cinq ans à terre, ton père se pencha alors pour te dire à l'oreille « tu ne peux pas le laisser faire ça, défend la. Tiens, tu as juste à appuyer là. »Il t'avait tendu un revolver et t'avait monter la gâchette, sans réfléchir parce que la scène te perturbait tu tiras, trois fois, touchant ton frère au moins d'une balle, puis ton vieux te murmura de l'achever alors les yeux de ton frère s'élargirent, le regardant lui, ne comprenant pas pourquoi il lui avait demandé de taper sa soeur s'il devait ensuite mourir pour se geste. Sans comprendre tu obéit, le regardant droit dans les yeux, tu l'immobilisa, l'engourdissant pour qu'il ne sache pas ce qui lui arrivait, puis déclencha le mécanisme, le sang gicla, et tu restais la immobile. Ton père te prit le poignet, souleva ta soeur, et vous fit sortir au moment ou ta mère arriva, et vit son fils allongé mort, alors ton père la tua a son tour. Tu étais trop choquée pour crier mais la nausée te rattrapa et tu vomis encore et encore, ton père du te porter jusqu'à la voiture, déposa ta soeur dans un hôpital et revint, conduisant des heures, s'éloignant de Londres, ta ville natale, la où tu avais passé toute ton enfance, qui s'arrêta ce jour là d'ailleurs.*


Revenant à toi tu te souvins tout de même de la suite, ton père qui te disais qu'il fallait que tu lui obéisses si tu ne voulais pas mourir ou finir en prison, tu resta avec lui jusqu'à tes 15 ans, meurtrière, et voleuse, mais gagnant à peine de quoi manger car mon père récupérait mes larcins. A côtoyer la mort ainsi elle ne t'effraya plus, et tu devins de plus en plus froide, ne restant plus rien en tuant les gens, tes victimes ne te faisait plus ni chaud ni froid. Mais tu ne supportais plus ton père, pour le quitter il te fallait un métier, pour réussir à t'en sortir seule et ne pas finir dans la rue, tu te rendis compte que tu en avais un. Soit, tu serais une tueuse. Mais avant de changer de vie, tu devais tuer ce qui te raccrochait à l'ancienne. Ton père. Tu avais préparé ta vengeance quand il était parti faire une course, peut être avait il senti ce que tu avais l'intention de faire, car il ne revint pas. Ton père t'avait appris à faire de fausse carte d'identité, de faux passeport, et qu'il ne fallait jamais resté au même endroit trop longtemps. Tu partis donc en France, quittant le Royaume Uni. Rapidement tu te forgea une réputation, et tu changea vite de ville et d'identité.

Et aujourd'hui te voilà, un an déjà que tu vivais sous le nom d'Anaëlle Carlton, mais tu savais aussi te faire discrète, plus discrète qu'avant du moins, donc le changement d'identité n'était pas obligatoire. Enfin pas tout à fait un an, 7mois, pour la naissance d'Aaron. Il n'aurait pas du être là, c'était l'aventure d'une nuit, et même pas pour ton plaisir mais pour accéder à une victime. Cependant tu l'as gardé, et même s'il complique les choses tu ne t'en sépareras pas. Et un autre dossier que tu ranges dans la valise, celui de ta soeur, puisqu'après le drame de la maison tu ne l'avais pas revue, tu te contentais des nouvelles rapportées par ton père de peur de ne plus en avoir du tout, alors une fois séparée de lui, tu avais fait des recherches sur elle, et tu avais repris contact. Du moins avant...
Deuxième priorité les armes, et tout ce qui te servait pour entreprendre tes activités comme de quoi craquer une serrure, attacher quelqu'un pour obtenir des information, l'attirail de torture classique avec des pinces, des clous des couteaux et le reste, bref tes affaires professionnelles. Tu glissas aussi un revolver dans l'étui qui s'attachait sur ta cuisse droite, chargé bien entendu.
Les affaires pour Aaron seraient rangées dans une poche sur le côté prévue exprès pour lui, et venait enfin tes vêtement de rechange et des sous.

Vite, charger la voiture noire que j'utilisais pour mes déplacement, la petite valise dans le coffre, le siège bébé à l'avant, la poussette repliée sur les siège arrière. Tu étais fin prête pour ce que tu avais à faire. Déjà, savoir où il voulait en venir, pour cela tu avais gardé un ordinateur dans l'appartement, tu y montas et fis quelques recherches. Ton père t'avais formé en quelque sorte, donc il pourrait prévoir tout faits et gestes, ce qui veux dire que ces recherches là étaient prévues. Tu craquas le site de surveillance de la ville, et il s'avéra que ta pensée fut juste, une caméra filmait un coin de la rue où se trouvait le café, en visionnant les vidéos, tu vis ton père donner un papier à un serveur, et tu ne pus que te demander de quoi il s'agissait. Depuis toute petite tu as une curiosité sans borne, alors forcément tu allais te rendre là bas pour te renseigner, mais pas à l'heure du rendez vous. Ou pas... Imprévisible, voilà comment il fallait que tu sois pour lui échapper, le prendre de court et l'éliminer par la suite. Bien, réfléchissons, puisque tu ne sais pas où aller, sache au moins ou tu ne veux pas allez, et vas y, il ne pensera pas a t'y chercher. Lyon. Pourquoi cette ville ? Parce que tu t'y es disputée avec ta soeur et tu ne retournes que rarement sur les lieux où les souvenirs sont mauvais. Voilà donc ta destination. Tu n'avais qu'un coup de fil à passer après avoir chercher un nouveau studio, dans ton métier le fric ne manquait pas, un prix fut décidé au téléphone pour l'achat ainsi qu'un rendez vous le lendemain matin, tu dormira dans la voiture cette nuit mais tant pis. Pas besoin d'une visite, tu prendrais. Tu mis de la nourriture dans une glacière ainsi qu'un thermos de lait chaud que tu verserais dans le biberon en tant voulu, l'ordinateur, ton fils et tu mis enfin le contact. Tu ne contas pas le temps de conduite, et tu ne t'arrêtas que pour changer une couche ou faire prendre l'air deux minutes à l'amour de ta vie, un petit temps aussi pour jeter ton portable dans une benne à ordure, c'était un jetable, et tu t'en procurerais un autre plus tard, de toute manière tes clients trouveront toujours comment te contacter, ils savaient comment faire. Le permis de conduire tu ne l'avais pas vraiment, mais la copie était bien faite, maintenant que tu avais des contacts, c'était plus élaboré, et pour l'apprentissage c'était sur le tas.

Enfin Lyon, une belle ville tout de même. Et une nouvelle vie, enfin d'une certaine façon seulement. Le studio t'appartenais maintenant, il ne te restait plus qu'à le meublé un peu, mais tu avais l'essentiel, une cuisine une salle de bain, et même un lit, même si une bonne rénovation ne ferait pas de mal, ça serait parfait pour le moment. Tu pris ton fils dans tes bras, jetant un coup d'oeil à la vue par la fenêtre, et tu te mis à le bercer tout en lui chantant une berceuse pour qu'il se sente chez lui ici.

Situation familiale actuelle :  Le seul membre de sa famille encore en vie est son père envers qui elle nourrit une haine profonde. Ensuite elle a eu un fils, qu'elle aime plus qu'elle même.

Situation sociale actuelle :  Mère célibataire
Lieu de vie actuel :  Lyon

AUTRE

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Des indices ? Ok by Gaelian
Anaëlle Carlton
Paranormale

Anaëlle Carlton Messages : 10
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Age : 29
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Feuille de personnage
Race: Paranormale
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Signe particulier: Tatouage sur la hanche et des yeux rouges cramoisis.
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MessageSujet: Re: Aël Carlton Aël Carlton EmptyMar 30 Aoû - 18:46

Et bien.... Je ne vois rien à redire. Tu es donc validée.

Bienvenue parmi nous et amuse toi bien =D
Gaelian Lidris
Agissant en Chef - Paris
Admin

Gaelian Lidris Messages : 101
Date d'inscription : 14/08/2011

Feuille de personnage
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Âge: 32 ans
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MessageSujet: Re: Aël Carlton Aël Carlton EmptyJeu 1 Sep - 15:54

Bienvenue ! Smile
Maëlle Falloz
Agent en Chef - Lyon
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Maëlle Falloz Messages : 75
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MessageSujet: Re: Aël Carlton Aël Carlton Empty

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Aël Carlton

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